• OS: Rencontre du destin
    Otanjobi omedeto Tomo-kun !!!!!
    J'ai fais cette os pour l'anniversaire de Yamapi. Cet os j'y tiens et j'espère qu'elle vous plaira.
     
    
     Je l'ai rencontré il y a quelque temps déjà. Dans une boite, elle était si belle que la lune elle-même semblait bien moins brillante qu'elle. Elle n'était pas un ange, ni un démon, elle était juste elle. En temps normal, mes yeux ne se seraient pas aventurer sur une fille comme elle. Elle n'avait rien des filles superficielles que je fréquentais à cette époque.
     
    Quiconque ayant des yeux voyait qu'elle était libre et qu'aucun lien n'aurait pu la retenir. Elle ne savait pas qui j'étais, et ne cherchait même pas à me draguer. Mais quand mes yeux se sont poser sur elle, j'ai su que je devais l'approcher, lui parler, avoir un contact avec elle quel qu'il soit. Quand je me suis approché d'elle, elle n'a pas eu la réaction que j'espérais.
     
    Elle m'a ri au nez en me disant que j'étais très drôle. Je l'ai ensuite inviter à boire un verre, elle ne voulait pas, mais j'ai insisté, insister, et encore insister. Son amie lui a dit d'accepter, car j'étais le grand Yamapi. Elle m'a alors demandé très simplement" Vous êtes connue dans quoi ? " J'ai alors répondu " Dans pleins de domaines". Elle m'a ri au nez encore une fois en me traitant de frimeur, mais au final, elle a accepté mon offre. Au début, on buvait calmement. Je ne pouvais m'empêcher de la regarder. Elle était si... belle... je voulais lui parler à tout prix, mais les mots ne sortait pas. J'étais devenu timide comme un gamin de 12 ans devant la première fille dont il est amoureux. Elle avait pris la parole de manière surprenante. Avait-elle senti ma gêne ?
    Je ne l'ai jamais su. La conversation avait commencé simplement.
     
    - Je n'ai pas bien compris qui vous êtes. Vous êtes connu c'est ça ?
    - Oui, je m'appelle Yamashita Tomohisa. Et vous ?
    - Appelez-moi Abby. Vous faites quoi dans la vie, Mr Yamashita ?
     - Je suis un idol.
    - Je n'ai pas très bien compris ce que c'est....
    - En gros, je chante, danse, je suis acteur, et il m'arrive même de présenter des émissions télé.
    - C'est bien. Enfin je crois.
    - Et vous ?
    - Moi ? Je suis.... un peu tout.
    -Je ne comprends pas vraiment....
     
    Son amie était alors venue la chercher.
     
    - Excusez-moi, mais on doit partir. Demain matin on doit se lever très tôt.
    - Jess T_T Je veux pas rentrer moi T_T
    - Tu te démerderas avec le dragon alors.
     
    J'étais vraiment intriguer. Qui était ce dragon ? Je ne le savais pas, mais il faisait peur à Abby. J'étais apeuré quand je l'ai vu se lever. Une seule chose me traversa l'esprit a ce moment-là..... Et je ne pu me retenir de lui demander.
     
    - Est ce que je vous reverrais ?
    - Elle reviendra sûrement.
    -Demain vous serez là ?
    - Pourquoi ça vous intéresse ?
    - Je veux vous revoir. Je ne sais pas pourquoi, mais je le veux... vraiment....au plus profond de moi.
    - Je reviendrais peut-être demain...mais je ne vous promets rien.
    - Est-ce un rendez-vous ?
     
    Son amie s'était rapprochée de moi. Elle me regardait le sourire aux lèvres.
     
    - Non, Yamapi, ce n'est pas un rendez-vous  ^^
     
    Elle avait pris Abby par le bras et était partit loin de moi.
    Le lendemain comme prévue, j'avais fini l'entraînement et j'étais partie me faire beau. Je ne suis pas quelqu'un de peu sûr de moi, mais j'avais demandé à mes meilleurs amis de venir m'aider à choisir quoi mettre: Akanishi Jin, Ikuta Toma, Nishikido Ryo et Narimiya Hiroki. Je ne savais pas encore au combien cela allait être important pour moi.
     
    J'étais arrivé en boite, avec les meilleurs amis qui me servait d'éclaireur. J'avais attendu et attendu, jusqu'à les voir arrivée. Abby et sa copine n'était pas seules, il y avait du monde avec elles. Dès qu'elles étaient entrées, une masse de garçons s'était amoncer sur elles, même des gars connu. Elle avait fugué au toilettes et n'en était pas ressortit. Je suis donc allé la rejoindre. Elle était a la cabine du fond. Elle était assise sur les wc, en train de fumer. J'avais frappé 2 fois et elle avait ouvert la porte. Me voyant, on s'est regardé un moment ainsi. Puis elle m'a fait entrer. On s'est assis tous les deux par terre dans la cabine, puis nous avons commencé à parler. Cette fois-là, nous avons parlé toute la nuit. Nous nous sommes raconté nos problèmes et nos souvenirs. Ce fut une nuit magique.
     
    Cette nuit-là, nous ne nous sommes même pas embrassé. Elle l'avait même avoué qu'elle aimait bien mon côté frimeur. Je n'avais pas su comment le prendre. Ses amies sont venues la récupérer au petit matin et elles sont rentrées. Quand j'y pense, je ne savais pas grand-chose d'elle. Elle n'avait pas dit grand-chose, en fin de compte. J'avais beaucoup plus parlé qu'elle. En une nuit, elle m'avait soulagé de mes plus gros problèmes, en me conseillant. Elle semblait si pure... Je me souviens m'être demandé ce qu'elle pouvait bien faire à cet endroit. Je me souviens aussi avoir eu beaucoup de mal à me retenir de la garder avec moi. Je luttais pour ne pas la retenir.
     
    Le lendemain, elle était revenue. Et nous avions encore parlé au bar, mais cette fois-çi, je voulais la garder pour moi. Je l'ai donc emmené chez moi. On avait vidé toutes mes bouteilles d'alcool. Je me suis alors rendu compte qu'elle avait une excellente descente. Peut-être même meilleure que moi. Je me souviens avoir branché la playstation. Elle avait ri mais m'avait battu à  plusieurs reprises à Takken. Il y avait deux personnes qui étaient capable de me battre à un jeu, Nino-san et elle. J'en avais été surpris. Je me souviens d'ailleurs avoir eu faim. Elle m'avait préparé un truc délicieux et très rapide. J'en avais lécher l'assiette. Ca l'avait fait rire. Elle avait un rire formidable. Qui aurait cru que je puisse ressentir ce genre de chose pour une femme. Elle ne voulait pas s'attacher. Elle ne le pouvait pas, mais à ce moment-là, je l'ignorais encore. J'ignorais que de l'approcher était comme une épée  à double tranchant...
     
     Ce fut ainsi pendant 3 autres jours. On s'amusait si bien que j'en oubliais qu'elle n'était pas japonaise... Le 4ème jour elle est venue à la maison et comme d'hab, on s'est amuser. Elle m'avait battue à Need For Speed, j'avais voulu attraper la manette (oui je suis mauvais perdant) et elle était tombé sur le canapé.
    En voyant ça, j'avais eu tant de mal à me concentrer pour ne pas lui sauter dessus, que ma pression s'était évaporer et que je l'avais embrassé. Elle me l'avait rendu. Je me souviens que c'était le meilleur baiser que je n'avais jamais reçu. Encore aujourd'hui, il reste le plus merveilleux et délicieux. Je m'en souviens encore comme si c'était hier. Peu à peu, les choses s'étaient accélérer. Elle m'avait murmuré quelque chose que je n'avais pas compris. Ce fut-là mon erreur. 
     
    Nous avons alors continué à nous chauffer. Nous frottant l'un contre l'autre. Toutes mes envies, toutes mes pensées perverses, tous ce que je réfrénais depuis le premier jour était partie en fumer. Nous étions encore tout habiller, et nous ne faisions encore rien d'autre que nous embrasser en nous frottant l'un à l'autre, pourtant, je savais que j'aurais pu jouir juste comme  ça... Jouir simplement avec ça (mais je ne suis pas un ejac précoce, ne ?). Elle me regardait avec ce genre de regard qui peut vous faire faire ce qu'elle veut. Un regard si intense et différent de celui des autres filles avec qui j'avais pu coucher jusqu'à ce jour. Elle ne pouvait pas être comparée à toutes ses filles sans importance. Il m'avait fallu si peu de temps pour me rendre compte à quel point je l'aimais. Elle avait commencé par défaire ma chemise lentement, sensuellement, j'étais déjà au bord du plaisir. Elle effleura ma peau. Elle semblait si sûre d'elle que ça me surprenait. Elle était si belle, que j'aurais pu me damner pour elle. Elle enleva son t-shirt un peu trop large, me faisant découvrir un soutien-gorge à dentelle noir et rouge. Il faisait ressortir sa poitrine et me donnais envie de lui enlever. Elle avait remarqué que je bloquais sur ses seins et en avait ri. Je fus boudeur quelques instants, puis, face à son visage heureux, je ne pouvais que céder  à  son charme. Je m'étais alors allonger sur elle. J'étais si exciter que j'aurais pu la prendre ainsi, sans préparation. Mais je ne pouvais pas faire ça. Je voulais qu'elle m'aime, ne fus ce que pendant ce court instant. Je voulais qu'elle me regarde comme un homme et non pas comme un ami. J'avais défais son jeans très rapidement. Et son shorty était assortie avec son soutient gorge. Je n'avais pu m'empêcher d'admirer ce corps si magnifique en sous- vêtement sous mes yeux. Elle me regardait de manière étrange. Je ne savais pas encore pourquoi mais son regard avait quelques choses de  triste et nostalgique. Elle semblait vouloir garder tous ces moments encrés en elle. Et dans un sens, je la comprenais, parce que c'est ce que je voulais moi aussi.
     
    Elle me fit basculer et je me retrouvai en dessous d'elle. Son regard avait à nouveau changé et été devenu sensuel cette fois. Elle me regardait avec envie et passion. Je fus surpris un moment. Surtout quand elle commença à défaire mon pantalon et qu'elle se plaça sur moi. Elle bougeait les hanches je ne pus m'empêcher de poser mes mains sur ses hanches pour accentuer les vas et viens sur mon  sexe. Elle avait décidé de prendre les choses en main, et c'est ce qu'elle fit très rapidement. Elle enleva mon caleçon puis se plaça ainsi sur moi, en gémissant longuement. Elle commença alors de long va et viens sur mon sexe durcit par l'envie. Je ne pouvais m'empêcher de gémir moi aussi. Elle était si douer pour me faire sentir bien. Pour chaque cri, pour chaque vas et viens, pour chaque caresse, je me sentais mourir sous elle, et j'aurais pu mourir heureux sous se corps magnifique qui me faisait l'amour.
     
    Au bout d'un moment, je voulus prendre le dessus, je la fis alors basculer à mon tour et je me retrouvai sur elle. Je n'étais pas sorti, je n'avais pas eu besoin. Elle me regardait si intensément pendant que je lui faisais l'amour que j'aurais pu tout abandonner pour elle, j'aurais pu partir à l'autre bout du monde, dans un pays donc je ne connais ni les coutumes, ni le langage. Et sincèrement, si je l'avais su avant, je l'aurais fait. Je ne pouvais m'empêcher de caresser son corps. Je voulais le sentir au bout de mes doigts, tout contre moi, encore et encore. Etait ce mal ? Je ne pense pas. Je voulais l'aimer entièrement à ma manière. L'aimer comme elle n'avait jamais été aimé auparavant. Quand je commença a bouger en elle. Me sentant me perdre sous le plaisir, il me fallut peu de temps avant de succomber entièrement à la chair. Elle criait mon nom. Vous me trouvez peut-être étrange, mais quand je couchais avec des femmes d'une nuit, elle m'appelait Yamapi, ou Pi-chan. Aucune ne m'appelait « Tomohisa » ce qu'elle elle faisait à ce moment-là. Elle m'appelait Tomo-kun, Tomo, ou Tomohisa. Elle n'aimait pas mes surnoms, elle disait que ça faisait animal de compagnie. Je me sentais me perdre encore et toujours entre ses reins. Je voyais son visage désireux qui éprouvait du plaisir. Et j'en éprouvais encore plus. Elle passa ses mains sur mon dos et me planta ses ongles dans le dos. Je n'avais pas mal, je ne ressentais que du plaisir à l'état pur. Le sien et le mien mélanger de manière si exquise. Je jouie alors une première fois en elle, dans un souffle commun.
    Je ne voulais pas la voir partir, je voulais faire ça jusqu'au matin, encore et encore. A en être épuiser, mais heureux. Je la portai donc jusqu'à ma chambre. Cela peut paraitre vieux jeu, mais l'amour dans un lit reste le must de l'amour. Je la posai délicatement sur mon lit. Je voyais à nouveau ce regard triste, mais il y avait autre chose, une sorte de mélange de désir et d'envie y été mélanger. Cela la rendait encore bien plus belle. Je ne pus m'empêcher de l'embrasser fougueusement. Sous mon corps elle commençait déjà à bouger. En avait-elle autant envie que moi ? Avait-elle, elle aussi besoin de faire de cette nuit, une nuit inoubliable ? Probablement, très certainement, sans aucun doute.
     
    Voyant à quel point elle semblait presser, j'entrai à nouveau en elle. Cette fois- çi, elle se tenait  au pendant de mon lit. Je ne sais pas pourquoi mais cette vision d'elle me regardant avide d'amour se tenant, me rendit encore plus exciter. Cette femme m'envoutait complètement. Qu'avait-elle de si spécial pour me rendre à ce point aussi fou d'elle ? Je bougeais à nouveau en elle. Un sentiment de bien-être m'envahissait. Son bassin se soulevait au rythme de mes coups de reins. Elle caressait mon dos, puis mon torse, en gémissant. Son visage en extase intensifia mon plaisir. Je me relevai et souleva ses jambes, entrant ainsi plus profondément en elle. Je sentais son corps se perdre sous mes doigts et c'était si grisant que ça en était digne des bonheurs les plus intenses. Etre en elle était comme être le plus heureux du monde. Elle criait qu'elle aimait ma façon de la prendre et qu'elle m'aimait. Je savais que ce n'était que l'effet du plaisir, mais pourtant, j'en étais heureux. Fou de joie. Elle se releva afin de m'embrasser, je me baissai alors un peu pour lui faciliter la tâche. Pendant ce long et délicieux baiser, elle ne cessait de gémir. Ses «  hum.... » et c'est «  han... » me donnait envie de mourir en elle pendant que nous faisions l'amour. Nos corps en sueur se mélangeaient de manière si divine et parfaite. Je vis quelques gouttes de sueur tomber entre ses seins. Je suivis du regard la trajectoire de celle-ci, puis je ne pus m'empêcher de prendre son sein gauche dans la bouche. Elle se cambra à nouveau en gémissant de plaisir. Je finis enfin par jouir une autre fois en elle. Je voulais recommencer encore et encore, mais j'étais épuiser. Faire l'amour avec elle m'avait complétement vidé. Nous nous étions alors couvert, puis elle s'était blottie dans mes bras essoufflée.
     
    Nos cœurs battaient à l'unisson et j'étais si bien que cela semblait être le paradis. On s'endormi ainsi, dans les bras l'un de l'autre. Je la tenais si fermement que si elle avait été en verre, je l'aurais certainement brisé. Quand je me suis réveillé le lendemain matin, elle était sous la douche. Cela me fit sourire, mais au final, je m'étais dépêcher de la rejoindre, malheureusement, je suis arrivé trop tard. Je fus boudeur un instant, mais  elle me fit rire, puis déposa un léger baiser chaste sur les lèvres. Moi qui espérais me mélanger à nouveau à elle....
    Après avoir déjeuné, nous passâmes la journée entière ensemble. Nous avions fait tout ce que j'ai toujours rêvé de faire avec ma copine. Elle était venue avec moi dans les magasins, m'avait aidé à choisir quoi acheter, et pour quel raison. Nous étions allez manger une glace avant d'aller au cinéma, nous avions mangé dans un restaurant traditionnel familial, tout c'était passer à merveille. Puis arriver devant chez moi, je lui proposai de monter boire un verre. Elle refusa poliment en m'expliquant que sa journée du lendemain était chargée. Puis je lui proposai de la ramener. Elle refusant en expliquant qu'elle risquait de ne plus me laisser partir. Elle prit son sac dans ma voiture, puis téléphonai vite fait à un taxi. Celui-ci arriva très vite. J'étais alors au pas de la porte quand le taxi arriva à nous. Elle se tourna, et monta sur  une  marche du porche. Je descendis aussi d'une marche, nous étions alors à la bonne hauteur. Elle me prit par le cou et m'embrassa d'une tel puissance, que j'eu envie à nouveau de lui faire l'amour. Son baiser avait un goût mélangé de désir, bonheur, tristesse, solitude, d'envie, de besoin et de supplice. Lorsqu'elle détacha enfin ses lèvres des miennes, j'ouvris lentement les yeux. Elle me regardait souriante. Elle me dit alors de manière enjouer.
     
    - Tomo-kun, je n'oublierais jamais la nuit dernière, ainsi que cette journée et cette soirée. Je  garderais en moi chaque regard, chaque parole, chaque geste. Je me souviendrais toujours de ces moments. Les moments où j'ai été la plus heureuse du monde.
    - Abby-chan, que ce passe-t-il ? Tu as l'air triste tout d'un coup !
    - Tomo-kun, je veux te dire que j'ai vraiment ressenti quelque chose de fort pour toi. C'est étrange en si peu de temps, mais c'est la réalité.
    - Abby-chan, qu'est-ce que tu veux dire par là ?
     
    Elle m'embrassa à nouveau, puis entra dans le taxi. Mais elle ne pouvait pas détourner le regard, elle ne faisait que me regarder. Son regard me demandait de la retenir. Je ne sais pas pourquoi je ne l'ai pas fait. Elle me regardait de manière si malheureuse.... Je n'avais pu m'endormir cette nuit-là, repensant a son visage triste et a son regard douloureux.
    Le lendemain matin, je téléphonai sur son portable. Celui-ci était éteint. Je me suis dit qu'elle devait encore dormir, mais, je l'appelai ainsi plusieurs fois dans la journée, et je n'arrivais pas à l'avoir.  Je m'inquiétais de plus en plus. Je reçu un appel vers 16h, elle m'expliqua alors que dans l'avion, elle ne pouvait laisser éclairer son téléphone. Je compris alors en une fraction de seconde, tout ce qu'elle m'avait dit, puis je me rappelai la phrase que je n'avais pas compris cette nuit-là.
     
    Flashback :
     
    Nous étions allongés sur le canapé, puis elle me murmura :
    - J'ai envie de  faire l'amour avec toi, mais ce sera comme un au revoir. C'est douloureux et à la fois si merveilleux. Ce sera notre première et dernière fois.
     
    Fin du flashback
     
    Je fus complétement dévasté par cette nouvelle. Elle était partie loin de moi après m'avoir rendu si heureux.
    Depuis cette histoire, 2 ans sont passé, je suis aujourd'hui en solo, je vis plutôt bien. Je n'ai pas voulu perdre le contact avec elle, mais on ne s'appelait de moins en moins. Elle était occuper et moi aussi. Il a fallu qu'elle reparte en France pour commencer à me parler d'elle. Elle m'expliqua un peu sa vie. Son passé, ses rêves. Elle me dit ce qu'elle faisait dans la vie. Elle me raconta ses souvenirs les plus joyeux et ceux qui l'était beaucoup moins. Elle m'expliqua qu'elle faisait partie d'une élite et que cela pouvait être dur. Elle me confia que ces quelques jours qu'elle avait passé au Japon, à Tokyo, fut les plus précieux souvenir qu'elle pouvait avoir. Elle n'avait jamais eu une vie facile et cela continuait encore aujourd'hui.
    Ma t-elle oublier ? Pense-t-elle encore à moi ? Se souviens-t-elle de ce que nous avons vécu ensemble ? Rien n'est moins sûr....
     
     
    Aéroport de Narita , 14H00
     
    Les passagers de l'avion en provenance de Paris sortent enfin. Une jeune femme habiller d'un style rock sort de l'avion. Elle marche jusqu'aux portes de sortie. Elle porte des lunettes de soleil et elle porte un rouge à lèvre rouge. Malgré sa petite taille, elle reste une attraction parfaite, un physique de rêve. Elle s'arrête alors devant une pancarte.
     
    - Ohayo gozaimassu. Vous venez me chercher apparemment. Dit-elle en regardant le jeune homme.
    - Et bien, êtes-vous Abbypurple ? Lui répondit-il
    - Oui, je suis Abby. 
     Elle sort un truc de son sac et le montra au jeune homme. Il s'inclina devant elle.
    - Enchanté de vous connaître Abby-san. Johnny-sama m'a demandé de vous emmener à lui.
    - Ne vous inquiétez pas. Allons y ^^
     
    Vue d'Abby :
     
    Cela fait près de 2 ans que je ne l'ai pas vue. Et bientôt 1 ans que nous avons perdu tout contact. Ma t-il oublier ? En aime-t-il une autre ?
    J'avance dans l'aéroport suivit de l'intermédiaire de Johnny-sama.  Cet homme, grâce à lui je peux vivre à nouveau dans ce pays que j'aime tant. Nous entrons dans la voiture et nous nous dirigeons directement au bureau de celui-ci. Arrivant à l'accueil, l'hôtesse nous demande de monter dans l'ascenseur et de nous dirigeons donc vers celui-ci. J'entre suivit du jeune homme qui est venue me chercher. J'enlevé alors mes lunettes, puis je m'accoude contre la paroi de l'ascenseur. Au moment où les portes vont pour se refermer un homme retient les portes et entre à l'intérieur. Mais malgré mon calme apparent, je reconnais celui-ci à peine fut il entrer.
     
    Vue de Yamapi :
    Ce matin encore je suis à la bourre, je n'ai pas réussi à me lever. Le monde sans lendemain heureux, je sais ce que c'est depuis qu'elle m'a quitté de manière si douloureuse. Cela fait un an que je ne lui ai pas téléphoné et qu'elle ne l'a pas fait non plus. Ça doit être dur pour elle, puis elle doit dormir dans les bras d'un autre en ce moment même. J'arrive devant les portes de la jimsho et je croise la sœur d'un de mes amis. Nous parlons 5 minutes, puis je rentre enfin. De loin, je vois l'ascenseur s'ouvrir. Je cours alors vers lui pour le retenir, et j'entre enfin. Quand je relevé la tête, je suis essouffler, mais je ressens quelque chose d'étrange. Cette femme... je suis sûr que c'est elle. Même taille, même forme, même style, même lèvres, même visage, même magnifique yeux verts.
    Je reste ainsi sans parler, la regardant. Me demandant si je rêve ou si c'est bien elle. Mais elle ne semble pas faire attention. C'est donc ça, elle m'a donc bel et bien oublié.....
    Je n'ose rien lui dire. Elle n'a pas changé, elle est toujours aussi magnifique. Je remarque alors  qu'elle est accompagnée du secrétaire personnel de Johnny-sama. Je décide donc d'entamer la conversation, mais à peine ai-je décidé ceci, que l'ascenseur s'arrête laissant sortir Abby-chan et  Takeshi Watase. Je voulus la retenir, lui demandait si elle se souvenait de moi ou si elle m'avait complétement oublier, effacer de sa mémoire, mais je n'ai pas eu le temps. La porte s'est deja refermé sur mon bonheur. Pourquoi est-elle là ? Je n'ai même pas osé lui demander....
     
    La journée se passa plutôt bien. Vers 17H00 je reçu un coup de fil. C'était elle. Elle voulait me voir, sûrement pour me dire qu'elle se souvenait de moi mais que je devais l'oublier. Je ressens alors une énorme douleur dans la poitrine. Mon cœur me fait mal, rien qu'en pensant qu'elle puisse me dire une chose comme ça. Elle me demande de nous retrouver vers 18h00 devant le bar ou nous nous sommes connus. Je commence à paniquer. Veux-t-elle me dire que je ne conterai plus jamais à ses yeux ?
    Je décide de me faire beau pour qu'elle ne puisse résister a mon charme et qu'elle ne veuille plus jamais s'échapper de mes filets. 
     
    18H00 sonne et je suis bien devant le bar, mais elle n'ait toujours pas là. 18H10, je commence à désespérer quand je la vois arriver en courant et me sauter dans les bras devant tout le monde. Je ne comprends pas trop ce qu'il se passe, mais je m'en fous ! Même si je suis pris en photos, ce n'est pas grave, elle se souvient de moi, et j'ai l'air de lui avoir manqué. Je sens son cou comme pour retrouver ce parfum qui m'avait tant manquer.
    - Tu es en retard. Dis-je tout en la serrant un peu plus fort dans mes bras.
    - Je sais, gomenasai. J'ai voulu me changer, mais je trouvais rien qui   puisses te faire complétement fondre en un regard. Alors j'ai mis ça, mais... après j'ai eu un problème avec le taxi, il m'a fait faire un grand détour, alors je suis sortie du taxi et j'ai couru jusqu'ici. Mais maintenant, je dois être toute moche. Dit-elle d'un air un peu déçu.
     
    Je la serre un peu plus fort dans mes bras. Elle respire mon parfum. Et là au moment où tout aurait pu se passer....
    - Tomo-kun, sukida yo. Me murmure-t-elle à l'oreille.
     
    Je reste un instant ainsi. Sans vraiment comprendre ce qu'il s'est passé. Vient-elle réellement de me dire qu'elle est amoureuse de moi ? Je n'ose pas lui demander de répéter de peur qu'elle me dise que c'est une blague ou que j'ai mal entendu, ou qu'encore elle démente ces paroles. Je l'attrape, puis la porte correctement dans mes bras. Délicatement. Elle me regarde de manière si...je ne peux pas décrire ce que ce regard veut dire, mais elle ne cesse de me regarder. Comme si j'étais la plus belle chose qu'elle n'avait jamais vue. Elle est si belle, avec le vent qui se faufile dans ses cheveux. Nous arrivons déjà à ma voiture, et je dois la poser, mais je n'en ai pas envie. Elle me regarde toujours quand je l'assois sur le capot de ma voiture pour ouvrir. Mais alors que je vais pour ouvrir la porte, elle descend du capot et se colle à moi, alors que je suis dos à elle. Elle resta ainsi un moment.
     
    - tu m'as tant manqué. Reste ainsi contre moi, encore un moment. Je veux te sentir encore. Je veux sentir ta chaleur. Laisse-moi te serrer encore un peu. Dit-elle d'une voix presque suppliante.
    Je me tourne alors et la force à me regarder dans les yeux.
    - Pourquoi es-tu partie alors ? Si tu m'aime, tu aurais dû rester. Si je t'ai manqué, tu n'aurais pas dû partir. J'aurais été capable de tout pour toi. Parce que je t'aime Abby. Je t'aime depuis si longtemps. Quand tu es partie, mon monde s'est effondré.... Dit je, à la fois énerver et heureux de ce qu'elle avait dit.
    - Je suis partie, car, je n'avais pas le choix.  Mon visa avait expiré. Pourquoi t'ai-je connue si tard ? Cela faisait déjà des mois que nous étions ici lorsque je t'ai vue pour la première fois. Oui tu m'as manqué, et oui, j'ai su en peu de temps que je ne pourrais pas t'oublier.
    - Alors pourquoi ne m' as-tu pas demander de te suivre ?
    - Parce que je ne suis pas aussi égoïste. Ici, tu as ta famille, tes amis, ton travail.
    - J'aurais tout abandonné pour toi. Si seulement tu me l'avais demandé....
    - Je ne pouvais pas. Je trouvais ça tellement cruel que de demander ça.
     
    Je caresse sa joue, elle penche la tête afin de sentir plus longtemps ma main. Je ne sais pas ce qui me prend à ce moment-là, mais je la serre contre moi. Malgré la chaleur, je ressens un long frisson dans ma colonne vertébrale. Est-ce le cadeau des cieux pour mon anniversaire ? Car, oui, demain est mon anniversaire. Et je souhaitais plus que tout au monde le fêter avec elle. Ma si belle européenne qui ne me voit pas de la même manière que les autres femmes. Elle a su lire en moi en une fraction de secondes. Est-ce bien ? Est ce mal ? Moi-même, je n'en sais rien, mais est-ce vraiment important ? L'important en ce moment même, c'est nos corps qui sont en contact, nos peaux qui se touchent, nos cœurs qui sont relié, ses yeux qui ne regardent que moi, et mes yeux qui ne voit qu' elle. Je pose alors ma main sur son cou, et lentement, je rapproche ma tête de sa tête. Lentement, nous fermons les yeux et nous nous embrassons tendrement. Ce baiser représente énormément pour elle, mais pas autant que pour moi. Je sens ses bras se pendre à mon cou. Un si long et doux baiser, je ne m'en pensais jamais capable. Avant de la connaitre, je n'avais que des relations sans lendemain, je ne cherchais pas à aimer. Cela ne me rapportait rien. Mais quand je l'ai vue.... J'ai su que je l'aimais. Quand mon regard à croiser le sien, j'avais eu le coup de foudre, moi qui ne croyait ni en l'amour, ni au coup de foudre. 2 ans après le destin nous a réunis à nouveau. Mais est-ce seulement temporaire ou est-ce pour toujours.  Je fini notre baiser sur cette pensée. Je la regarde dans les yeux, et elle me regarde de manière si passionner....
     
    -Tu dors où ? lui demandais-je.
    -Dans un hôtel pour le moment. Je n'ai pas encore trouvé d'appart, ni  de maison. Me répondit-elle.
    -Pourquoi tu ne viendrais pas chez moi ? J'habite toujours au même endroit. J'espérais que tu reviennes un jour près de moi, et j'avais peur que si je déménageais, tu ne me retrouverais pas.
    - Je ne veux pas te déranger...
    - Ce qui me dérange, c'est que tu puisses faire attention à un autre que moi.
    - Ca, ce n'est pas possible. Sais-tu à quel point mon cœur bat la chamade quand je suis près de toi ? À quel point il bat vite quand tu me regarde ? À quel point je suis retourné quand tu me parle ? Je ne pourrais jamais regarder quelqu'un d'autre de la même  manière que je te regarde. Même si il était plus beau et mieux que toi en tout point, je ne pourrais jamais considérer que ce soit réellement le cas. Tu es....
    -Je suis ?
    - Non, rien. Laisse tomber. Allons chercher mes affaires et portons les chez toi.
     
    Nous sommes donc partie en nous dirigeant vers l'un des plus grands hôtels de Tokyo. Même moi je n'avais jamais loué une chambre dans l'un de ses hôtels luxueux et moderne.  Je suis resté  émerveiller devant les lieux. Sa chambre est au 12 ème étage. Une « chambre permanente », avec cuisine et tout le nécessaire pour vivre. Elle prend ses affaires et descend à l'accueil. Elle paye ce qu'elle doit, puis nous repartons après qu'elle est demandée de faire suivre le « reste » de ses affaires à mon adresse. La première chose que nous faisons en arrivant, c'est une bataille de «  Takken », ou je me fais laminer. Mais moi, le mauvais joueur, je suis fou de joie en voyant son visage souriant quand elle gagne. Je ne peux m'empêcher de la faire basculer sur le canapé avant de l'embrasser à nouveau. Cela me rappelle notre première fois. Enfin nos premiers fois ensemble. Notre premier baiser, notre première fois ensemble, notre sentiment commun l'un pour l'autre d'un amour existant. Ca peut paraître étrange, mais la peur commence à m'envahir. Et si en allant plus loin, elle disparaissait pour de bon cette fois ? Puis pour combien de temps est bon son visa ? Quelques jours ? Quelques semaines ? Quelques mois ? Et après ? Que vais-je faire si elle m'abandonne encore une fois ? Pourrai-je à nouveau le supporter ? Je dois avoir un regard malheureux, car, elle me prend dans ses bras et me force à me mettre tout contre elle.
     
    -Ça ira. Je ne partirais pas. Et encore moins sans rien te dire. Me dit-elle, comme pour me rassurer.
    Je la regarde alors à nouveau et elle m'embrasse passionnément. Ce besoin de se voir nous a manqué, alors quand elle commence à gémir alors que nous sommes habillés, je sais que je veux lui faire l'amour. Bien sûr nous refaisons l'amour. Rien ne change, elle fait toujours aussi bien l'amour, si ce n'est mieux. Nos corps semblent complément relier. Cela peut paraître idiot, mais cet acte est devenu comme un besoin de s'aimer de cette manière. Bien sûr, le sexe est important dans un couple normal, mais un couple qui s'aime depuis 2 ans et qui n'ont eu qu'une seule et unique nuit d'amour ne peut pas être comparé aux autres. Je sais que je suis peut-être fou, mais je veux l'aimer de tout mon être, et de tout mon âme et de tout mon cœur.  Je veux l'aimer à ma manière.et je veux qu'elle m'aime aussi à sa manière, de tout son être, son cœur, son cœur et son âme.
     
    Le lendemain matin, je me réveille lentement, avec les souvenirs de la veille. Je me mets à sourire bêtement, comme un idiot. Je me souviens son goût, la douceur de sa peau, la fouge et la bestialité de son amour.... J'ouvre alors les yeux, et ... elle n'est pas à côté de moi. Je commence à avoir peur. Je me lève, encore nu, tout paniquer, je me mets à courir jusqu'au salon. Je sens alors une bonne odeur qui s'échappe de la cuisine. Je me dirige vers celle-ci, et je la vois. Elle porte ma chemise, qui est bien trop grande et large pour elle. Je reste ainsi à la regarder chantonner en cuisinant. Je m'approche d'elle lentement sans faire de bruit. Je mis alors mes bras autour de ses hanches en embrassant son cou.
     
    -Otanjobi omedeto Tomo-kun.
    - Comment tu savais que c'était moi ?
    - Nous sommes que tous les deux Tomo, puis tu crois que je me laisserais faire par n'importe qui ?
    - Non, bien sûr que non.
    - Je disais donc.....
     
    Elle se retourne pour me faire face. Elle me regarde de manière amoureuse et totalement passionner.
     
    - Otanjobi omedeto Tomo-kun !
    -Domo arrigato Abby-chan ^^
     
    Je l'embrasse pour le remercier et pour la sentir encore près de moi.
    - Vu que tu n' as pas acheter de cadeaux, mon cadeau, ça sera toi. Toute la journée, tu dois rester avec moi.
    - Je t'ai acheté un cadeau, il est dans mes valises. C'est pour ça que j'ai avancé mon départ d'1 mois. Je devais arriver le mois prochain, vers le 12.
    - Alors pourquoi tu es arrivé hier ?
    - Parce que je voulais absolument être au Japon et te donner ton cadeau d'anniv aujourd'hui.
    - Nande ?
    - Parce que c'était important pour moi de passer le jour de ton anniversaire avec toi, et pour ton cadeau, je voulais absolument te l'offrir aujourd'hui.
    -Mais mon plus beau cadeau, c'est toi.
    - En fait j'ai 3 cadeaux à t'offrir.
    - 3 ?
    -Le premier, est un cadeau que tu auras dans 2 minute, le 2 ème est...en effet moi, je m'offre à toi pour la journée, et le 3ème...
    - Le 3ème ?
    - C'est un visa permanant. J'ai demandé à être naturaliser japonaise. Je veux rester au japon toute ma vie. Non, plutôt qu'au japon, je veux rester aux près de toi pour toujours et à jamais.
     
    Je la serre alors dans mes bras si fort que j'ai peur de lui briser les os. Quand je m'en rend compte, je desserre mon étreinte. Et je la regarde un instant.
     
    -Tu promets que tu vas rester avec moi ?
    -Tomo, je te l'ai dit hier, aishiteru. Je t'aime de tout mon cœur. Je t'aime tellement que je ne peux imaginer passer encore un jour loin de toi. Mais...
    - Quoi ???
    - Moi, je me suis déclarer, mais toi.....
    Elle se détache de moi comme si quelque chose n'allait pas.
     
    -Qu'est-ce qu'il y a ? Pourquoi tu as l'air si....
    - Moi, je t'aime, et je te l'ai dit, mais toi... tu ne m'as pas répondu. Ni en me disant que tu m'aimais, ni en me repoussant. Tu n'as fait aucun geste pouvoir me donner la réponse.
    - Nous avons fait l'amour ! Ca ne te suffit pas ?
    - Comment ça le pourrait ? Je te connais et je sais que le sexe n'est que du sexe pour toi. Même pendant que nous faisions l'amour, tu n'as pas prononcé ces mots une seule fois. Au Japon, vous avez tellement de mot pour dire «  je t'aime » (dit en français), et tu as bien éviter d'en dire aucune d'elle. Remarque ça doit vouloir dire que ...
     
    Elle se dirigea dans la chambre ou ses valises étaient encore fermer. Elle ouvrir l'une d'entre elle, et sorti le cadeau en question. Elle le posa sur le lit, puis revint dans la cuisine.
    -J'ai posé ton cadeau sur ton lit. Fait attention. Je fini et je vais prendre une douche.
    -Est ce que quelque chose ne va pas ?
    - Tout va bien.
    -Je croyais que tu voulais me le donner en mains propre ?
    - Je ne peux pas.
     
    Elle finit de cuisiner et je la vois partir dans la salle de bain. Du temps, je vais dans la chambre, pour voir le « cadeau », lorsque j'entre, mon cœur se serre dès que j'ai ouvert le cadeau. Devant moi, non pas 1 mais 2 cadeau, l'un des deux, est un cd graver, on dirait une démo, mais c'est écrit pour Tomo. Et le 2ème, une boite avec une bague et ainsi qu'une chaine et une croix catholique. Je mets le cd dans son ordi, et là, la voix d'Abby se fait entendre.
     
    -Ohayo ! Otanjobi omedeto Tomo -kun !!!! Alors, vu que je ne savais pas trop comment faire pour te faire plaisir, j'ai décidé de t'offrir cette chanson. Ce n'est pas grands chose, et tu as du avoir et tu auras sûrement des cadeaux bien mieux que les miens. Cette chanson, que j'ai composée pour toi, s'appelle « Toi »
     
    Lorsque je ferme les yeux,
    Je me souviens encore nos corps enlacé
    C'est comme ça qu'ont été heureux
    Mes sentiments, j'ai essayé de te les montrer
    Même si pour toi, je ne suis bien moins que rien
    Mon cœur bat à l'idée de pouvoir à nouveau t'embrasser
    Je ne suis pas douer pour ces choses, et c'est sûrement bien
    Mais mon corps réclame chaque parcelle de toi encore et encore.
    Bien sûr j'ai connu bien des hommes avant toi
    Ma vie difficile, tu l'as connais déjà
     
    Refrain :
    Quand je veux te revoir, je ferme les yeux
    Je te sens encore si près de moi à ce moment là
    Quand je pense à nous deux, j'ai un sentiment heureux
    Qui ravive toute mes flammes malgré tous les émois
    Je ne suis pas un ange, et je ne suis pas un démon
    Les fées ne se sont pas pencher sur mon berceau
    Est-ce que cela importe un peu à ma façon ?
    Je ne veux pas d'une maison digne d'un château
    Tout ce que je veux, c'est toi
     
    Mon âme faible ne fait que penser à toi.
    M'aimes-tu encore ? En aime tu une autre ?
    Tous ses mots d'amours que je disais tout bas
    As-tu pus les comprendre ? Et les entendre ?
    Je suis parfois bête et je me dit que je devrais
    Etre celle qui te le prouve au lieu de l'attendre de toi
    Mais malgré tout  je ne peux qu'espérer
    Que tu me dise «  mon amour , comme je t'aime, aime moi »
     
    Refrain :
    Quand je veux t'entendre, je ferme les yeux
    Et je sens mon cœur défiler au rythme de ta voix
    Même si je suis loin de toi maintenant
    Je sais que mon cœur bat seulement pour  toi
    Quand je pense à toi, mon cœur souffre
    Que tu ne le sache et ne le devine pas
    Mais j'espère que mes paroles dans un souffle
    Tu les accepteras et les approuvera
    Le seul que je puisse aimer, c'est toi
    Alors je t'en prie, aime moi...
     
    Elle arrête de jouer. Je me rends compte que je pleure définitivement. Elle m'a touché au plus profond de moi. Je cours vers la salle de bain, et je l'ouvre à la voler. Elle me regarde surprise sous la douche.
     
    -Je t'aime Abby ! Je t'aime ! Suki da yo ! Kimi da suki da ! Aishiteru! I love you !
     
    Elle me regardait surprise.
     
    -Je ne veux pas de ta pitié.
    - Ce n'est pas de la pitié ! Je t'aime et je voulais te le dire, mais je ne savais pas comment. Et puis j'ai entendu ta chanson et j'ai su comment je devais te le dire.
    - Je...
     
    Je ne veux pas entendre ce qu'elle veut dire, je me dirige sous la douche et entre à l'intérieur, toujours sous son regard. Je la prends par le cou, et je l'embrasse fougueusement.  Je me défait de ses lèvres .
     
    -Je t'aime vraiment.
     
    Et là, c'est elle qui m'attire à elle pour m'embrasser amoureusement.
     
    Un baiser si enflammer que mon cœur est prêt à se rompre. Nos corps se touchent sous l'eau chaude de la douche. Peu importe ce qui arrivera dans le futur, je sais que mon cœur bat pour elle, que mes yeux, ne vois qu'elle, que mon corps est dirigée par elle, que ma bouche ne réclame qu'elle et mes mains ne veulent toucher que sa peau. Quand à mon âme... je pourrais me damner pour elle.
    Maintenant que je sais qu'elle m'aime, je sais que je pourrais faire n'importe quoi et partir n' importe où. Elle est mon oxygène, et elle est mon monde. Sans elle, je mourrais, j'ai besoin d'elle comme de l'air que je respire, elle m'est vital. Et j'espère l'être pour elle. Nos lèvres se séparent enfin, mais elle continue de me regarder de manière si tendre. Nous avons passé la journée ensemble, et j'ai bien profité de mon cadeau. Un peu partout, chez moi et dans des lieux publics. J'adore prendre possession de son corps dans des endroits insolites, c'est encore plus excitant, de voir son visage qui ressent à la fois de la peur de se faire prendre et du plaisir à en mourir. Le soir, nous allons dîner à la maison, elle me prépare un vrai festin. Pendant le repas, nous parlons encore et elle m'explique enfin ce qu'elle fait ici. Johnny-sama veut faire d'elle l'auteure-compositeur attitrer de la jimsho. Et cela me rend tout choses, de m'imaginer chanter ses chansons. Si je voulais donner une morale a tout ça, je dirais que l'on ne peut rien faire contre le destin,
    Et qu'il réunit ceux qui doivent l'être. Je dirais aussi que l'amour est plus fort que le temps, car après 2 ans sans s'être effleuré du bout des doigts, notre amour est encore plus fort et puissant qu'un ouragan d'amour diriger par le destin.
     
    Fin


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     La belle du bar :  partie 1 /partie 2 /partie 3 
     (pour l'anniversaire de Hana-chan)
     
      Un conte de fée plutôt compliqué: partie 1 
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